Je suis hyper en retard sur mes articles mais là, je n'en peux tout simplement plus. Ma mère, Poupinou, les factures, les taxes, le PSE, le permis, mon boulot que je n'ai pas, Noël de fuck qui approche, j'ai tout simplement envie de tout envoyer chier et personne l'aura volé. Voilà comme ça, c'est fait.
La bonne nouvelle de la journée, c'est quand même que j'ai gagné Une place à prendre de J.K Rowling à un concours et ça, ça pouvait pas mieux tomber.
Alors je vais quand même vous raconter ce qu'on a fait dimanche. Mais sans grand enthousiasme cette fois. Parce que j'en ai ras le bol. Avant ça, faut quand même que je vous dise. En plus du dimanche, je vais tous les samedis à des entraînements. Sauf que tout le monde n'y va pas. Et ce sont toujours les mêmes qui font deux heures de route A/R pour se bouger. Et que dimanche qui arrive, c'est la journée d'évaluation, la vraie. Celle à la fin de laquelle on va me dire si oui ou merde j'ai eu mon PSE. Et samedi, ils veulent refaire une journée d'entraînement. Ok, sauf que je sais pas qui a proposé qu'on dorme tous là bas. Ouaiiiiiiiiiiiis ! Alors ok, on est tous ensemble, c'est trop cool la vie mais moi de une, j'en ai ras le cul d'être une des seule à me bouger à perpette et de deux je sais très bien qu'on dormira pas alors que le lendemain, on passe quand même un examen. Et yen a qui ont pas l'air de l'entendre ça. Parce qu'on est pas là pour déconner, c'est un vrai examen qu'on passe. Donc moi j'veux bien me déplacer, être gentille toussah mais ya quand même des limites.
Dimanche donc. On arrive à moitié la tête dans l'cul parce que moi perso j'me lève à 6h30. On part du local à 7h45 et on s'tape une heure de route. Donc oui quand j'arrive, j'suis pas opé tout de suite hein ! Sauf que là, bim, on commence avec un cas concret de malade et personne était dedans donc j'te raconte pas comment on s'est fait engueuler un truc de malade. La journée commençait déjà suuuper bien.
Ce dimanche, on a séparé la journée en deux. Le matin, théorie et l'après midi, cas concrets. En théorie, on a donc abordé les détresses vitales. Les malaises et l'aggravation d'une maladie et les accidents de la peau avec plaies grèves, plaies superficielles et brûlures. Autrement dit un truc pas cool à digérer.
Et l'après midi alors là, ça a été l'apothéose. Pour les cas concrets, c'était du grand n'importe quoi. Personne n'arrivait à rien, les gestes étaient pas fait correctement, trop lents, des trucs aberrants, enfin bref, la merde totale donc là les formateurs nous ont prit entre quatre yeux. Pour nous dire qu'ok, ça fait du bien de rigoler mais on est aussi et surtout là pour avoir un diplôme et que parti comme c'était parti, personne n'allait l'avoir. COOL !
Sauf qu'ils se sont pas rendus compte qu'on avait beaucoup de choses à assimiler et à restituer en peu de temps et que c'était quand même du lourd. Puis moi j'me suis carrément sentie visée parce que je suis la première à déconner. Parce que faut savoir être sérieux, j'suis d'accord (Et j'suis la première à le dire, c'est d'ailleurs ce que j'ai dit en début d'article.), c'est un vrai examen de secourisme qu'on passe, on va assurer la sécurité des gens après, toussah mais pour bien faire tout ça, on a aussi besoin de se détendre et de relâcher la pression. Sauf que là, ils nous l'ont bien mit la pression. Mais le problème c'est que trop d'pression, tue la pression. Et puis j'ai quand même tenu à leur dire que c'est pas parce que je suis infirmière que c'est plus facile pour moi, bien au contraire parce qu'entre les gestes que j'ai apprit moi et ceux qu'on m'apprend là, il y a un monde.
Voilà donc j'suis rentrée dimanche sur les rotules, agacée et j'ai clairement voulu tout arrêter.
J'me suis quand même inscrite pour un poste de secours le 16 décembre. C'est une compet' d'ergo aviron. Alors j'espère l'avoir ce p***** de PSE parce que j'ai hâte d'y être !
La bonne nouvelle de la journée, c'est quand même que j'ai gagné Une place à prendre de J.K Rowling à un concours et ça, ça pouvait pas mieux tomber.
Alors je vais quand même vous raconter ce qu'on a fait dimanche. Mais sans grand enthousiasme cette fois. Parce que j'en ai ras le bol. Avant ça, faut quand même que je vous dise. En plus du dimanche, je vais tous les samedis à des entraînements. Sauf que tout le monde n'y va pas. Et ce sont toujours les mêmes qui font deux heures de route A/R pour se bouger. Et que dimanche qui arrive, c'est la journée d'évaluation, la vraie. Celle à la fin de laquelle on va me dire si oui ou merde j'ai eu mon PSE. Et samedi, ils veulent refaire une journée d'entraînement. Ok, sauf que je sais pas qui a proposé qu'on dorme tous là bas. Ouaiiiiiiiiiiiis ! Alors ok, on est tous ensemble, c'est trop cool la vie mais moi de une, j'en ai ras le cul d'être une des seule à me bouger à perpette et de deux je sais très bien qu'on dormira pas alors que le lendemain, on passe quand même un examen. Et yen a qui ont pas l'air de l'entendre ça. Parce qu'on est pas là pour déconner, c'est un vrai examen qu'on passe. Donc moi j'veux bien me déplacer, être gentille toussah mais ya quand même des limites.
Dimanche donc. On arrive à moitié la tête dans l'cul parce que moi perso j'me lève à 6h30. On part du local à 7h45 et on s'tape une heure de route. Donc oui quand j'arrive, j'suis pas opé tout de suite hein ! Sauf que là, bim, on commence avec un cas concret de malade et personne était dedans donc j'te raconte pas comment on s'est fait engueuler un truc de malade. La journée commençait déjà suuuper bien.
Ce dimanche, on a séparé la journée en deux. Le matin, théorie et l'après midi, cas concrets. En théorie, on a donc abordé les détresses vitales. Les malaises et l'aggravation d'une maladie et les accidents de la peau avec plaies grèves, plaies superficielles et brûlures. Autrement dit un truc pas cool à digérer.
Et l'après midi alors là, ça a été l'apothéose. Pour les cas concrets, c'était du grand n'importe quoi. Personne n'arrivait à rien, les gestes étaient pas fait correctement, trop lents, des trucs aberrants, enfin bref, la merde totale donc là les formateurs nous ont prit entre quatre yeux. Pour nous dire qu'ok, ça fait du bien de rigoler mais on est aussi et surtout là pour avoir un diplôme et que parti comme c'était parti, personne n'allait l'avoir. COOL !
Sauf qu'ils se sont pas rendus compte qu'on avait beaucoup de choses à assimiler et à restituer en peu de temps et que c'était quand même du lourd. Puis moi j'me suis carrément sentie visée parce que je suis la première à déconner. Parce que faut savoir être sérieux, j'suis d'accord (Et j'suis la première à le dire, c'est d'ailleurs ce que j'ai dit en début d'article.), c'est un vrai examen de secourisme qu'on passe, on va assurer la sécurité des gens après, toussah mais pour bien faire tout ça, on a aussi besoin de se détendre et de relâcher la pression. Sauf que là, ils nous l'ont bien mit la pression. Mais le problème c'est que trop d'pression, tue la pression. Et puis j'ai quand même tenu à leur dire que c'est pas parce que je suis infirmière que c'est plus facile pour moi, bien au contraire parce qu'entre les gestes que j'ai apprit moi et ceux qu'on m'apprend là, il y a un monde.
Voilà donc j'suis rentrée dimanche sur les rotules, agacée et j'ai clairement voulu tout arrêter.
J'me suis quand même inscrite pour un poste de secours le 16 décembre. C'est une compet' d'ergo aviron. Alors j'espère l'avoir ce p***** de PSE parce que j'ai hâte d'y être !
Et puis après, j'ai relativisé, j'me suis dit que même si j'l'avais pas ce PSE, j'me serais quand même bien marrée !