J'ai passé un weekend de merde. Clairement. J'attendais de lui son soutien. J'en avais besoin plus que jamais. Finalement, c'est moi qui me suis occupée de lui. Comme d'habitude. Je lui ai acheté ses plats préférés. Je l'ai attendu une demie heure dans le froid à la gare vendredi soir jusqu'à 23h09. Je lui ai lavé son linge de la semaine pour lui économiser une machine à 8€. J'en passe et des meilleures. Mais visiblement, ça n'a pas été suffisant.
Il était désagréable. Du coup, je n'ai même pas pu lui dire ni lui montrer tout ce que j'avais sur le coeur. De peur de l'agacer davantage. Alors j'ai ravalé. J'ai fermé ma gueule.Comme d'habitude.
J'en arrive à me culpabiliser et à me demander s'il est vraiment heureux avec moi. Parce qu'avec tout ce que je fais, ça suffit pas. La preuve. Pour une fois, c'était moi qui avais besoin de lui. Pas le contraire.
Il s'est ennuyé aussi. Et ça, c'est encore plus vexant. Parce qu'il déteste venir ici. Mais moi je dois supporter cette vie que lui ne supporte pas plus de deux jours. Parce que le rideau de ma chambre tient avec du scotch américain. Parce que je n'ai plus de télé. Parce que mon pc marche quand il veut. Parce qu'une fois qu'il avait lu et répondu à ses 235 658 512 mails. Il avait plus rien à faire.
Et moi, pendant ce temps là, j'étais triste. Je l'ai attendu. J'ai attendu de pouvoir lui parler. Et il m'enguelait quand je me mettais à pleurer. Et toutes les cinq minutes, il me demandait ce qui n'allait pas.. Comme si ça avait changé. Comme si une semaine me suffisait à m'en remettre. Et ça l'agaçait encore plus.
Il était désagréable. Du coup, je n'ai même pas pu lui dire ni lui montrer tout ce que j'avais sur le coeur. De peur de l'agacer davantage. Alors j'ai ravalé. J'ai fermé ma gueule.
J'en arrive à me culpabiliser et à me demander s'il est vraiment heureux avec moi. Parce qu'avec tout ce que je fais, ça suffit pas. La preuve. Pour une fois, c'était moi qui avais besoin de lui. Pas le contraire.
Il s'est ennuyé aussi. Et ça, c'est encore plus vexant. Parce qu'il déteste venir ici. Mais moi je dois supporter cette vie que lui ne supporte pas plus de deux jours. Parce que le rideau de ma chambre tient avec du scotch américain. Parce que je n'ai plus de télé. Parce que mon pc marche quand il veut. Parce qu'une fois qu'il avait lu et répondu à ses 235 658 512 mails. Il avait plus rien à faire.
Et moi, pendant ce temps là, j'étais triste. Je l'ai attendu. J'ai attendu de pouvoir lui parler. Et il m'enguelait quand je me mettais à pleurer. Et toutes les cinq minutes, il me demandait ce qui n'allait pas.. Comme si ça avait changé. Comme si une semaine me suffisait à m'en remettre. Et ça l'agaçait encore plus.
Je sais pas. Je sais plus. Je suis perdue.
Maintenant, on se revoit pas avant un mois. Le temps pour moi de me retrouver. Et c'est pas plus mal.
Mon partiel du 14 février va m'occuper pendant deux semaines et celui du 11 mars prendra le relais. Sans oublier mon cher et tendre mémoire.
Il s'est excusé en partant. Mais c'est toujours comme ça. J'aurais tellement voulu qu'il prévienne au lieu de guérir. Mais c'est jamais comme ça que ça se passe. Je suis épuisée.
Sms de 18h56: "Excuse moi de devoir repartir mon coeur.. Je t'aime beaucoup. Beaucoup trop pour ne pas penser à toi. Gros bisous Poupinette. :( Prend soin de toi."
Maintenant, on se revoit pas avant un mois. Le temps pour moi de me retrouver. Et c'est pas plus mal.
Mon partiel du 14 février va m'occuper pendant deux semaines et celui du 11 mars prendra le relais. Sans oublier mon cher et tendre mémoire.
Il s'est excusé en partant. Mais c'est toujours comme ça. J'aurais tellement voulu qu'il prévienne au lieu de guérir. Mais c'est jamais comme ça que ça se passe. Je suis épuisée.
Sms de 18h56: "Excuse moi de devoir repartir mon coeur.. Je t'aime beaucoup. Beaucoup trop pour ne pas penser à toi. Gros bisous Poupinette. :( Prend soin de toi."