J'ai encore raté les enquêtes impossibles de Pierre Bellemare ce matin. Parce que je me suis levée trop tard. Parce que j'ai voulu essayer de dormir plus de deux heures cette nuit. Je me suis endormie contrariée encore. A cause de l'autre con là (= mon ex) qui me rappelle pas parce qu'il a pas assez de couilles pour assumer. Parce qu'il a beau avoir vingt trois ans, il cherche encore ce qu'il va faire de sa vie, il sait toujours pas changer les draps de son lit et encore moins faire cuire des pâtes, il habite encore chez maman et se prend pour un gangster en terminant sa crise d'ado. Wesh.
Alors voilà. J'attends, dans l'angoisse. Parce que recevoir un sms de lui ou l'avoir au téléphone peut vite dégénérer en crise d'angoisse. Mais il le faut. Parce que c'est trop important.
Et je commence déjà à stresser pour ce stage DE. J'ai pas envie de repartir. Pas après avoir goûté au bonheur, au vrai et à la reconstruction. Parce que j'ai pas envie de replonger dans cet état que je connais trop. Dormir trois heures par nuit, manger une fois tous les trois jours, vouloir qu'on m'oublie alors que d'habitude, ça me fait peur, oublier tout le monde, devenir trop nerveuse pour adresser la parole à qui que ce soit, finir la journée trempée de larmes.
D'ailleurs, temps qu'on est là, il faut que je vous dise que je vais partir pendant ces cinq semaines. Parce que pour espérer réussir, j'ai besoin de me retirer. Alors c'est ce que je vais faire. Et ça commencera le 10 octobre. Je sais pas quand je reviendrai, je sais pas. J'espère le plus vite possible parce que sinon, ça va être la catastrophe. Vous allez me manquer. J'ai demandé à Poupinou de ne pas venir me voir pendant ces cinq semaines parce que j'ai pas envie, j'ai besoin d'être vraiment seule. Je me connais trop et ça me rendrait agressive plus qu'autre chose. Je préfère qu'on se voit pas mais qu'on se déchire pas plutôt qu'on se voit et que ça soit un désastre. Parce que j'arriverai pas à gérer. J'espère qu'il a compris. J'espère qu'il ne m'en veut pas.
J'ai presque fini la préparation de ma soutenance. Hier fut une journée intense et dense. Je voulais travailler vite et bien pour pouvoir profiter de la fin de journée au soleil avec mon livre mais j'ai mal évalué la charge de travail. Si bien qu'à 20h, quand Poupinou est rentré j'étais choquée. Il faut que je finisse ça aujourd'hui. Parce que ce weekend, j'ai pas envie de travailler.
Je savais que ce souffle de vie ne serait que temporaire. Il aura duré presque trois mois. C'était bien. Maintenant, il me reste cinq semaines. Cinq semaines de galère. C'est quoi comparé à trois ans et demi ? Rien. Mais déjà trop pour moi. Je suis déjà à bout de souffle rien que d'y penser et j'ai peur de ne pas tenir le choc. Même pour cinq semaines.
Et puis la fin de l'année va être faite que d'imprévus. Je vais vers le flou. Parce que je sais absolument pas comment je vais m'organiser, ce que je vais faire. Et ça, j'ai horreur de ça.
Alors voilà. J'attends, dans l'angoisse. Parce que recevoir un sms de lui ou l'avoir au téléphone peut vite dégénérer en crise d'angoisse. Mais il le faut. Parce que c'est trop important.
Et je commence déjà à stresser pour ce stage DE. J'ai pas envie de repartir. Pas après avoir goûté au bonheur, au vrai et à la reconstruction. Parce que j'ai pas envie de replonger dans cet état que je connais trop. Dormir trois heures par nuit, manger une fois tous les trois jours, vouloir qu'on m'oublie alors que d'habitude, ça me fait peur, oublier tout le monde, devenir trop nerveuse pour adresser la parole à qui que ce soit, finir la journée trempée de larmes.
D'ailleurs, temps qu'on est là, il faut que je vous dise que je vais partir pendant ces cinq semaines. Parce que pour espérer réussir, j'ai besoin de me retirer. Alors c'est ce que je vais faire. Et ça commencera le 10 octobre. Je sais pas quand je reviendrai, je sais pas. J'espère le plus vite possible parce que sinon, ça va être la catastrophe. Vous allez me manquer. J'ai demandé à Poupinou de ne pas venir me voir pendant ces cinq semaines parce que j'ai pas envie, j'ai besoin d'être vraiment seule. Je me connais trop et ça me rendrait agressive plus qu'autre chose. Je préfère qu'on se voit pas mais qu'on se déchire pas plutôt qu'on se voit et que ça soit un désastre. Parce que j'arriverai pas à gérer. J'espère qu'il a compris. J'espère qu'il ne m'en veut pas.
J'ai presque fini la préparation de ma soutenance. Hier fut une journée intense et dense. Je voulais travailler vite et bien pour pouvoir profiter de la fin de journée au soleil avec mon livre mais j'ai mal évalué la charge de travail. Si bien qu'à 20h, quand Poupinou est rentré j'étais choquée. Il faut que je finisse ça aujourd'hui. Parce que ce weekend, j'ai pas envie de travailler.
Je savais que ce souffle de vie ne serait que temporaire. Il aura duré presque trois mois. C'était bien. Maintenant, il me reste cinq semaines. Cinq semaines de galère. C'est quoi comparé à trois ans et demi ? Rien. Mais déjà trop pour moi. Je suis déjà à bout de souffle rien que d'y penser et j'ai peur de ne pas tenir le choc. Même pour cinq semaines.
Et puis la fin de l'année va être faite que d'imprévus. Je vais vers le flou. Parce que je sais absolument pas comment je vais m'organiser, ce que je vais faire. Et ça, j'ai horreur de ça.
Alors on respire, et on reste zen !
Même si, je sais, c'est plus facile à dire qu'à faire :x
(et nan, les miennes sont encore plus jolies, na !)