Il parait qu'on s'habitue à tout. Même au pire.
Il parait qu'avec le temps, tout s'efface.
Il parait qu'un jour, on peut regarder nos moments de tristesse sans replonger dans la mélancolie.
Il parait...
Il parait qu'avec le temps, tout s'efface.
Il parait qu'un jour, on peut regarder nos moments de tristesse sans replonger dans la mélancolie.
Il parait...
Moi, je sais pas si j'y arriverai un jour. Je sais pas si je fais partie des gens qui y arrivent. Il y a des jours où je me dis que ça y est. C'est fini. Je suis guérie. Je l'ai oublié et on passe à autre chose. Mais dès le lendemain (voire dans l'heure qui suit.) ce n'est déjà plus le cas.
Tous les matins, je me lève avec la même pensée. En espérant que cette journée ne soit pas la même qu'hier, qu'elle ait quelque chose de différent qui me fasse croire qu'il ait pensé à nous. Et qu'il soit revenu sur sa décision.
Tous les soirs, je me couche avec la même déception. Me disant que finalement, c'est lui qui est "comme tous les autres".
Je pensais pas que tu aurais été capable de me faire ça. Pas toi. Pas comme ça.
J'aurais préféré que tu m'aimes tellement que tu sois capable de me retenir.
J'osais encore espérer que tu serais capable de ravaler ta fierté pour moi.
C'est un vide qui restera béant à vie et que rien ni personne ne pourra combler.
Sauf s'il revient.
Sauf s'il se rend compte.
Sauf s'il s'excuse.
Sauf s'il redevient celui que j'ai connu le 31 octobre 2007.
Sauf..
Même si le temps passe, cela n'efface rien. Tout peut changer, mais rien n'est vraiment oublié.
Toi, je ne sais pas si tu changeras. Mais moi, je ne t'oublierai jamais.
Tous les matins, je me lève avec la même pensée. En espérant que cette journée ne soit pas la même qu'hier, qu'elle ait quelque chose de différent qui me fasse croire qu'il ait pensé à nous. Et qu'il soit revenu sur sa décision.
Tous les soirs, je me couche avec la même déception. Me disant que finalement, c'est lui qui est "comme tous les autres".
Je pensais pas que tu aurais été capable de me faire ça. Pas toi. Pas comme ça.
J'aurais préféré que tu m'aimes tellement que tu sois capable de me retenir.
J'osais encore espérer que tu serais capable de ravaler ta fierté pour moi.
C'est un vide qui restera béant à vie et que rien ni personne ne pourra combler.
Sauf s'il revient.
Sauf s'il se rend compte.
Sauf s'il s'excuse.
Sauf s'il redevient celui que j'ai connu le 31 octobre 2007.
Sauf..
Même si le temps passe, cela n'efface rien. Tout peut changer, mais rien n'est vraiment oublié.
Toi, je ne sais pas si tu changeras. Mais moi, je ne t'oublierai jamais.
Il parait qu'on s'habitue à tout. Même au pire.
Il parait qu'avec le temps, tout s'efface.
Il parait qu'un jour, on peut regarder nos moments de tristesse sans replonger dans la mélancolie.
Il parait...
Il parait qu'avec le temps, tout s'efface.
Il parait qu'un jour, on peut regarder nos moments de tristesse sans replonger dans la mélancolie.
Il parait...
Bisous, S.