J'aime bien mon nouvel habillage. Si tant est que ça en soit un vraiment. J'aime bien les nouvelles couleurs. J'avais besoin de changement. J'ai cliqué au pif. Et paf. Et peu importe si ça rappelle les anciennes. Parce qu'au fond j'aime bien le changement qui change pas.
Ca y est. Je lui ai dit. A G. Il m'a dit qu'il m'aimait. Que j'étais "une fille extraordinaire et que je mérite la vie et le bonheur". Alors je lui ai dit que c'était un Dieu. Qui m'avait porté secours quand j'en avais eu besoin et que sans lui j'aurais certainement fait pire que ça. Que je le remerciais et que je continuerai à penser à lui. Mais quepour l'instant, c'était malsain.
"Je ne demandais rien de plus que d'être quelque chose sur lequel on s'appuie. Je pense que je vais passer ma vie à ça. Etre un bout de quelque chose pour quelqu'un." Ca m'a fait mal de lire ça. Il m'a faites culpabiliser. Même si je l'entendais en rire derrière ce sms plein de douleur. Parce qu'il mérite pas ça. J'aimerais tellement lui dire qu'il mérite bien plus que ça. Mais je n'ai pas eu assez de courage alors c'est sur ces quelques mots que l'on s'est quitté.
Je ressens un grand vide. Je suis qu'une sale égoïste. Parce que je le laisse dans la merde. Enclin au doute et au désespoir. A la merci des souffrances du passé.
Je lui ai dit que j'étais làmaintenant s'il le voulait. Mais il va encore partir avec élégance et grâce. Se retirer avec la plus grande classe et délicatesse.
Ca y est. Je lui ai dit. A G. Il m'a dit qu'il m'aimait. Que j'étais "une fille extraordinaire et que je mérite la vie et le bonheur". Alors je lui ai dit que c'était un Dieu. Qui m'avait porté secours quand j'en avais eu besoin et que sans lui j'aurais certainement fait pire que ça. Que je le remerciais et que je continuerai à penser à lui. Mais que
"Je ne demandais rien de plus que d'être quelque chose sur lequel on s'appuie. Je pense que je vais passer ma vie à ça. Etre un bout de quelque chose pour quelqu'un." Ca m'a fait mal de lire ça. Il m'a faites culpabiliser. Même si je l'entendais en rire derrière ce sms plein de douleur. Parce qu'il mérite pas ça. J'aimerais tellement lui dire qu'il mérite bien plus que ça. Mais je n'ai pas eu assez de courage alors c'est sur ces quelques mots que l'on s'est quitté.
Je ressens un grand vide. Je suis qu'une sale égoïste. Parce que je le laisse dans la merde. Enclin au doute et au désespoir. A la merci des souffrances du passé.
Je lui ai dit que j'étais là
J'ai fait une pause dans mon mémoire pour aujourd'hui. J'ai du ménage à faire. Je dois changer mes draps pour qu'ils soient propres mais pas trop quand Poupinou arrivera dimanche soir. J'en ai pour une bonne heure.
Mon cadre conceptuel est censé faire huit pages maximum. J'en suis au quart et il en est à six pages. Je suis en police 10 et je vais devoir passer réglementairement en police 12. Ca m'fait chier quand même. Ca prouve que je suis incapable de synthétiser et rassembler mes idées. Prochain rendez vous pédagogique dans huit jours. On va bien voir ce qu'elle va me raconter.
Et puis Justine va passer à la maison pour que je l'aide à faire sa démarche de soins pour mardi.
Poupinou est occupé. Mais c'est pas grave en fait.
Je suis fière de lui et de ce qu'il fait.
Dimanche, j'aurai un nouveau téléphone portable. Poupinou a changé de forfait alors il s'est prit le Sony xperia x10 avec. Je troque donc mon ancêtre qu'est le Nokia 8310 contre son LG KU990 Viewty. J'aime pas le tactile mais ça lui fait tellement plaisir de me le donner alors on va pas le contrarier. Et puis je ferai comme tout et tout le monde: Je m'y habituerai.
je l'ai pris je ne sais pour quelle raison complètement obscure à mon Moi conscient il y a deux ans de çà et franchement, oui, on s'y habitue et il est finalement pas mal du tout, tu verras :) ( et il est pas tout tactile, c'est çà qu'est bien : on a encore un minimum de contrôle quand le tactile bug ) ( ce qui arrive quand même ) ( oui ) ( non, il est bien quand même, hein! )